Fergie.

Faites toujours attention, que dis-je, soyez toujours vigilants quant aux lieux que vous fréquentez pour acheter vos gâteaux et autres pâtisseries. On ne rigole pas avec ces choses-là.

Qui sait ce qui pourrait en surgir?

Bah voilà, tenez, qu'est ce que je vous disais.

Votre repas est à présent complètement foutu et vos convives préfèreront finir la soirée avec un McFlurry au Daim plutôt que de toucher au cake.

Blague à part, parlons peu, parlons bien, parlons FERGIE.

Je ne reviendrai pas sur ses déclarations ô combien délicieuses datant d'il y a deux ans...bon, non à vrai dire, je ne peux pas m'en empêcher :

"Je n'ai peut être pas le genre de voix que vous aimez, mais je sais chanter. Vous ne pouvez pas m'enlever ça, parce que chanter est un don de Dieu et lorsque les gens disent que je chante mal, cela revient en quelque sorte à offenser Dieu"

Voilà. Donc réfléchissez avant de blasphémer à tort et à travers.

Cependant, je préfère aujourd'hui m'intéresser plus particulièrement à son look. Le "look Fergie". Le look atypique par excellence. LE look.

Prenons cette photo :


Bon. Soit.

Qu'est ce qui ne va pas là-dedans, me demanderez-vous?

Hé bien je préfère laisser parler mon feutre virtuel et m'atteler à colorier tout ce qui cloche dans cette photo :



Certes.

Réessayons :

Mon dieu, finalement, non, je ne préfère pas, à ce train-là, je risquerai vite d'être à court d'encre virtuelle.

Autre chose. En relisant attentivement la tracklist de son premier album, je me suis rendu compte de ceci :

!!?

"(Personal)"? Parce que le reste de l'album ne l'est pas, peut-être?

Préciser la nature du morceau par le biais d'un sous-titre adéquat est on ne peut plus judicieux, mais pourrait donner lieu à des dérives d'un nouveau genre, telles que "Et C'est Parti (Monstrueuses basses de pouffes)", "Bleeding Love (Cucurbitacée)" ou encore "Don't Cha (Cochonnerie)".

Fergie a toutefois réitéré l'expérience sur le même album :

(Ça ne s'invente pas)

Sacrée elle.

Miss Swan.

Deux ou trois choses que je ne comprends pas à propos de cette émission.

Déjà, à quoi sert Cindy Fabre dans tout cela?


"Salut, je n'ai aucune légitimité à présenter cette émission puisque moi, au moins, j'ai été gâtée par la nature, mais c'était bien payé et puis, il y a des plaids chauffants que l'on peut utiliser entre chaque prises."

Et à chaque fois, les participantes ont un sérieux problème de confiance en elles (euh salut vous faites juste partie d'une frange massive de plus de 90% de la population), et la "relookeuse en chef" finit toujours par dire un truc du genre :

"Sheila/Sharon/Amanda a un grave problème de confiance en elle. Elle voudrait ne plus exister aux yeux des autres. Nous allons lui faire suivre une psychothérapie. Elle aura aussi besoin d'une rhinoplastie."

???


Donc, pour dissimuler et, quelque part, atténuer le réel problème (son nez), on évoque en premier lieu les problèmes psychologiques, le "fond du truc", quoi.

"Melinda est atteinte d'importantes crises de paranoïa, elle croit que tout le monde la juge, l'analyse et se moque d'elle où qu'elle se rende. Une psychothérapie résoudra le problème. Elle aura aussi besoin d'une rhinoplastie."

Bah oui, tiens.

D'ailleurs, leurs psychologues ne sont pas en reste : degré "la-psy-de-Confessions-Intimes" de l'inefficacité.

L'autre jour, une candidate avait perdu confiance en l'amour et, de manière globale, en la gent masculine. Tout cela à cause d'une relation désastreuse survenue par le passé.

Et son rendez-vous avec le psy, expédié à l'écran en une séquence de 22 secondes montre en main a donné quelque chose dans ce genre-là :

"- Mon petit ami m'a demandé en mariage...mais j'ai vraiment des doutes, puisque je ne fais plus confiance aux hommes depuis déjà plusieurs années.
- Ecoute moi bien, Sarah : tu ne dois plus avoir peur d'aimer à nouveau."

Point.

Oui, oui, c'est là que s'est arrêté (net) son avis psychologique.

J'ignore quel est votre avis sur la question (si tant est qu'il y en ait une), mais je les soupçonne sérieusement de passer dans un restaurant chinois et de se fournir en fortune cookies avant toute consultation.

Au cas où l'émission souhaiterait réaliser des économies (à l'instar de M6 avec Nouveau Look Pour Une Nouvelle Vie, qui a visiblement fait passer la limousine et Véronique Mounier à la trappe), j'ai bien plus pratique et cheap à la fois :


Parfaitement, un générateur de biscuits chinois.

La joie du conseil aléatoire sans avoir à briser quoique ce soit.

Il faudrait juste éviter de prendre n'importe lequel afin de conseiller les candidates, je ne voudrais pas me retrouver avec :

"J'ai eu envie de disparaître, je n'ai pas l'impression d'avoir ma place dans ce monde, mes fesses sont difformes et j'ai parfois des champignons aux pieds.
- Je vois. Écoute moi bien, Tiffany : C'est insulter l'éternité que de tuer le temps."

N'est-ce-pas ?

Méditons là-dessus.

Club Banger.

Comme vous le savez peut-être (ou pas, peu importe), une autre de mes "passions" est la pratique de mash-up autrement appelés bootlegs ou même bastard pop. Mêler Mya et Zaho, Lady GaGa et Nelly Furtado ou Katy Perry et les Ting Tings, ça me plaît, je dirai même que ça me botte.

Et même si ça n'est pas toujours une franche réussite, hey, ça n'est pas grave, je me dis toujours "tant pis", en haussant les épaules et en me grattouillant le menton.

Bref.

Celui-ci est spécial.

Celui-ci est un mégamix (terme très estampillé "années 90", je dois être un ringard dans l'âme), ou plutôt un medley de plusieurs tubes d'un seul et même producteur : Rich Harrison.

L'homme derrière, entre autres, "Crazy In Love" (Beyoncé), "1 Thing" (Amerie), "Get Right" (Jennifer Lopez) et "I Don't Need A Man" (The Pussycat Dolls).

Ce sont ces quatre titres que j'ai décidé d'entrelacer, de croiser et, finalement, d'unir, le temps d'un morceau.



Bon, le montage vidéo est également mien, ce qui explique ses imperfections certaines.

"Plus plus".

Mandy Moore.

L'autre jour, j'écoutais Cry par Mandy Moore dans la rue, et j'ai laissé les gens autour me dépasser en ralentissant mes pas, afin qu'ils ne réalisent pas que j'écoutais ça à fond (les ballons/la caisse) dans les oreilles.

Cry, pour information, donnait ceci :



Single tiré entre autres de la B.O. du film "A Walk To Remember" (Le temps d'un automne), d'une niaiserie, je l'espère, purement assumée.


Landon Carter, bad boy de base, a cette fois dépassé les bornes en martyrisant une fois de trop un élève modèle qui a voulu s'intégrer à son groupe d'autres bad-boys.

En guise de punition, il doit donner des cours à des élèves plus jeunes que lui et assurer le premier rôle de la pièce du lycée. Il sera amené de ce fait à se rapprocher de Jamie Sullivan, une fille de pasteur ultra coincée et risée de tous, dont il tombera très vite amoureux parce que hé, ho, les mecs, c'est Hollywood, quoi.

Hélas, Jamie est atteinte d'une leucémie et, ne répondant plus aux traitements prescrits, est condamnée à mourir sous peu.

Je tiens à vous dire que le moment le plus sensuel et excitant du film est celui où Shane West applique une décalcomanie sur l'épaule de Mandy Moore :


Ooooh how thrilling.

Bon, pour amener un peu de sérieux à cet article sans queue ni tête, je vais dévoiler la raison pour laquelle "Cry" est parvenu jusqu'à mes oreilles, outre ses qualités intrinsèques de "chanson pop accrocheuse et gentiment naïve" : j'ai appris par hasard via Twitter (Dieu soit loué), que l'anniversaire de Mandy tombait un 10 avril et lui ai donc rendu hommage à ma façon, en écoutant le meilleur de la crasse qu'elle nous avait pondu avant "Wild Hope" (un album par ailleurs épatant, rempli de très belles perles pop-folk contemporaines).

Elle a d'ailleurs déclaré ceci dans une émission de radio, il y a quelques temps de cela :

"J'ai tellement honte de mes tubes de jeunesse. Si je pouvais rembourser chaque personne qui a acheté Candy (ndr : son premier single), je le ferai"

Hey, ne tente personne Mandy, d'accord? Pas de "si je", "si je", c'est BIEN TROP FACILE. Et puis il est aisé de cracher dans la soupe, sauf que sans cette dernière, tu n'en serais pas là où tu en es aujourd'hui.

Mais au-delà de ça (et du réel), ce qui m'interpelle le plus chez cette fille, c'est bien la pochette de l'album dont est tirée la chanson susmentionnée :

WOAH.

J'ai rarement vu une chanteuse pop avec une expression de visage aussi peu inspirée.

Comme si elle savait très bien le goût que la musique à l'intérieur avait (i.e. insipide) et avait eu la mauvaise idée de le laisser transparaître pendant le photoshoot lui étant dédié.

On pourrait même jouer à "posons des questions d'actualité à Mandy Moore" avec cette pochette :

Que penses-tu de Camélia-Jordana, candidate de la Nouvelle Star 2009 ?

"Bof."

Kanye West est-il un gayfish à tes yeux, comme les créateurs de South Park ont pu le laisser entendre ?

"Mouais."

Et sinon, ton point de vue sur le conflit israélo-palestinien ?

"Blah."

O.K.

La prochaine fois, je propose d'interroger JoJo sur des questions telles que la guerre en Irak et l'indépendance du Tibet et d'interpréter ses réponses par le biais de cette pochette :

Bien à vous, au revoir.

Habbo Hotel.

Lorsque j'avais 14/15 ans, j'adorais traîner sur Habbo Hotel.

Je pouvais y passer des heures, à dialoguer dans ce cadre super sympathique, ambiance Les Sims en 2D.

J'y ai même entraîné mes ami(e)s du lycée, ce qui a eu tendance à décupler mon envie de le fréquenter.

Et puis aussi parce qu'une fille, adepte du site, m'aimait bien.

Elle me couvrait de cadeaux, meubles et autres animaux de compagnie (payants, puisqu'il fallait envoyer des sms surtaxés pour obtenir des crédits).

J'étais un peu la poule de luxe d'une inconnue lambda, et je n'en étais pas peu fier, exposant mon sublime appartement virtuel hyper bien meublé et agencé à tous mes amis de passage sur le site.

L'autre jour, j'ai voulu voir ce que le site était devenu, 5 ans après.

Nous sommes tout d'abord accueillis par quelques nuages de tags les plus importants en ce moment-même sur le site :

Bon. Grand naïf que je suis, je m'attends donc à trouver un lieu trop "cool", "rock," "lol" et plein de "love". Hé bien RIEN DU TOUT, OUI.

Qu'y ai-je vu en réalité?

La réponse en quelques captures :

Hé oui.

Du sexe à tous les étages.

Que ça soit en "discothèque", dans les jardins publics ou même dans une bibliothèque (bon sang!!) : du graveleux en veux-tu en voilà.

Je suis peut-être trop vieux pour comprendre, mais moi, à l'époque, ce n'était vraiment pas l'usage que j'en faisais.

C.Q.F.D.

Le romantisme n'est pas non plus laissé pour compte, oh que non.

Prenons "joedu14".

"joedu14" est ici pour "trouver une meuf" (c'est en tout cas ce qu'il a précisé dans la case "mission") :


Et gageons qu'avec une prose pareille, personne ne pourra lui résister :


Je vous laisse, pour conclure, avec un échange entre plusieurs inconnus auquel j'ai assisté, effaré (et légèrement amusé quand même, hein).

Je vous la transcris telle quelle :

"- conard
- va te faire mettre bobba (ndr : les "gros mots" bien orthographiés sont censurés par un "bobba")
- mais oui moi aussi je t'aime
- pas moi
- hero de puta mdr
- tu te fais prendre par touss t trou
- comme ta mere c de famille
- non je vais te nike attention moi je suis un dingue toi tu éé une merde
- ferme la toi
- les pd en dirait un combat de coq
- o repond tarrete de peter lembrouille
- aller tous vous faire bobba
- c ke t drole toi
- koi ta un probleme enculer
- ta fai l'école du rire avec coluche
- éé méé va te faire foutre!
- nn avk ta soeur
- tg parle pa de sa soeur el et morte
- espece d'enculer
- sa se voi ta 11ans c sa
- toi et tes cheveau aller vs faire enculer
- toi tu ressemble a une cuisse de dinde po trop cuitte
- a p'tit feu"

(Précisons tout de même que la "Maria" de la dernière image est un bot, ce qui explique le langage châtié dont elle fait preuve et son orthographe sans commune mesure par rapport aux autres utilisateurs du site.)

Playback.

Sur mon ancien blog, j'avais brièvement monté une vidéo compilant de très mauvaises prestations en live d'artistes pop du monde entier, en arguant qu'il valait parfois mieux chanter en playback ou ne pas chanter du tout que de se ridiculiser sur scène.

Le tout était agrémenté de quelques annotations caustiques ça et là.

Et bien voilà une seconde ration de raisons pour lesquelles certain(e)s devraient s'adonner aux joies et commodités du playback (toujours accompagnée d'annotations de derrière les fagots) :



Et voici la première vidéo, pour le souvenir (et le plaisir) :



Oui, oui, "argh".

My Prerogative.

Je veux parler de la reprise de Britney Spears.

C'est tout de même un des morceaux les plus difficiles à interpréter au niveau de l'instrumental. J'aime me prêter à l'exercice du mp3 buccal et celui-ci m'a toujours posé problème.

C'est vrai quoi, comment voulez-vous, par le biais de bruyantes onomatopées, transcrire ce son :



"Pwoin-oin-oin-oin-oing, pwoin-oin-oin-oin-oing"?

Et ça :



"Toudoudoumcam, toudoudoumcam" est bien le son qui s'en rapproche le plus à mon sens.

Et puis alors ceci :



"DVUM-DVUM-DVUM-DVUM-DVUM-DVUM"!!?

Au moins, avec Piece Of Me...



...on sait à quoi s'en tenir :

"CO-COT! CUCKOO... CO-COT! CUCKOO..."

Ce qui me rappelle inévitablement ça, au final :



CO-COT! CUCKOO...

Non?

"LULZ"

Twitter.

Twitter est "fantastique".

Demi Moore a sauvé une vie le week-end dernier en retweetant (=faire circuler) le message de détresse d'une inconnue, conduisant tous ses followers à appeler la police aux alentours afin de lui porter secours. Bien sûr il aurait été plus simple de la part de Demi d'appeler la police elle-même au lieu d'en informer la planète entière, mais hey, c'est une célébrité, et les célébrités ne fourrent pas leur mains n'importe où.

Retweeter : oui. Faire plus : hors de question.

Cette histoire mise à part, le site est devenu en quelques mois un véritable terrain de jeu pour les célébrités.

Et l'évolution est notable, quand je me suis inscrit en octobre 2007, je ne pouvais pas encore être informé :

● des fois où Jamelia tente de prendre en photo des gens qu'elle trouve ridicule dans la rue :


● de l'avis de Solange Knowles sur le jeu de société Candy Land :

● que les Nina Sky (duo de soeurs jumelles ayant eu en tout et pour tout un tube, en 2004) étaient encore en vie en activité :

(et de passage en France, qui plus est)

● que P. Diddy était quand même un mec super relou :

...et qu'il regardait des pornos en mangeant des cornflakes, de temps à autres :

("hey salut, j'aime les pornos, mais c'est pas de ma faute : je suis un scorpion!")

Mais le mieux reste le compte de David Charvet.

SISI, s'il y a bien quelqu'un à suivre en ce moment sur Twitter, c'est David Charvet.

Bon, il y a certes une petite redondance dans ses tweets :

Gageons que le prochain sera sûrement :
"Kids. Bottles. Me. 1st Coffee."

Et surtout, la raison pour laquelle il FAUT suivre David Charvet est expliquée dans ce tweet :

Aller, c'est parti, il compte sur vous, et moi aussi, surtout qu'il n'a que 800 followers pour le moment.

Vous le lui devez bien et puis, après tout, c'est la moindre des choses si l'on veut de nouveau un tube du même acabit que celui-ci :

...

"J'aimais bien."