mardi 15 septembre 2009

WIKI-PÉDANT : Nâdiya


Aujourd'hui : Nâdiya.


Cette fois-ci, je n'ai même pas besoin d'altérer la réalité ou d'écrire n'importe quoi à son sujet : sa page wikipédia parle d'elle-même.

J'ai juste choisi d'illustrer chacune des parties qu'un fan a jugé bon de rédiger en se basant sur la carrière de celle-ci.







...2010?

samedi 5 septembre 2009

Des clips et des bulles #3 – State Of Mind

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...et l'on n'entendit plus parler d'Holly Valance, jusqu'à son apparition dans le dernier clip de FrankMusik.

mardi 1 septembre 2009

Geek Life #1 - Stranded Kids


J'ai décidé un peu de vous parler vrai, parler franc, parler jeux vidéos ayant marqué mon enfance. Si j'étais américain, j'écrirais "THIS GAME WAS THE $HIT!! !! ! ! YA KNOW!!", mais je ne le suis pas, alors je me contenterai de les qualifier de "chanmé".

Aujourd'hui, Stranded Kids.


Stranded Kids (intitulé Survival Kids dans les autres pays du monde, vous savez, ceux où l'on sait parler anglais) était un jeu de GameBoy Color TROP chanmé où le but était grosso modo de quitter à tout prix une île sur laquelle le héros fait naufrage.

Je me souviens l'avoir reçu pour mon 10ème anniversaire et y avoir joué comme un fou l'après-midi même, enfin, avant que mon voisin ne me propose de faire un tour de vélo et que je me perde dans une partie de la ville que je ne connaissais pas et ce parce qu'il roulait trop vite pour moi. J'ai cru que je n'allais jamais pouvoir rentrer chez moi et finir ce fichu jeu, et ça, croyez-moi, ça n'aurait absolument pas été cool. Je dirai même BRAVO L'ANNIVERSAIRE DE MERDE. Bref. Je suis finalement rentré chez moi sain et sauf. Ma mère n'avait d'ailleurs pas été plus impressionnée que ça lorsque je lui ai annoncé fièrement que j'avais été capable de retrouver mon chemin tout seul alors que je n'avais fichtrement aucune idée d'où j'étais.

J'ai ainsi pu goûter aux joies de ce jeu et de sa cinématique de début, très jolie pour une GameBoy Color :



J'invitais mes copains juste pour ça d'ailleurs : "c'est pas trop beau franchement cette cinématique là hein pour de la GameBoy? C'est fort hein?". Ouais ouais j'étais surtout très lourd quoi.

En regardant cette cinématique des années après, il y a un truc que je ne saisis pas et que peut-être vous serez capable de m'expliquer : le père du héros est assez riche pour posséder et naviguer sur une telle frégate, mais il offre un simple canif à son gosse de 10 ans. Même pas un couteau suisse. Un canif. Soit. De toutes façons, le bateau fait naufrage dans la nuit, et on a même pas le temps d'entamer une conversation d'homme à homme sur la vraie valeur des choses qu'on se retrouve déjà à la flotte.

C'est là que le jeu commence, et je me répète : Stranded Kids était juste trop chanmé. Se retrouver sur une île déserte avec pour unique but de survivre puis, éventuellement, s'en échapper, ça c'était de l'aventure, de la vie, de la vraie, Auchan. Et très en avance sur son temps, puisqu'à l'instar des Sims, le héros devait se nourrir, s'hydrater, mais aussi dormir et éviter de tomber malade. Bon, le seul point sur lequel je reste encore sceptique, c'est au sujet de son intestin grêle : il ne semble tout simplement pas en être doté et n'a donc pas besoin d'aller faire ses besoins ça et là à longueur de temps. Bon, après, quoiqu'on puisse en dire, c'était tout de même une qualité fort appréciable.

L'île était néanmoins hostile, et si l'éventualité d'avoir à mourir d'une occlusion intestinale ne pouvait vous faire frémir, les animaux, eux, le pouvaient. Alors il y avait de tout hein : souris, serpents, sangliers, lapins, ours... Aussi, il y avait toujours une saloperie de panthère qui traînait dans le coin et qui finissait irrémédiablement par me tuer, parce que j'avais auparavant ingéré une herbe folle qui inversait mes mouvements et que ma seule arme à disposition était un marteau assemblé avec un gros bâton et une petite pierre (et là, on se rend compte mine de rien qu'il n'y a qu'en parlant d'un jeu vidéo que l'on peut un jour être amené à écrire un truc pareil).


Car oui, l'autre attrait du jeu c'était l'assemblage d'objets. Un bout de bois flexible + une liane = un arc. Un bâton + de la sève = une torche. Une branche + un nénuphar = un parapluie, mais ça, ça n'avait strictement aucun intérêt, si ce n'est avoir l'air super cool.


Le dernier truc fantastique dans ce jeu, c'était le singe Bubu. A vrai dire, je ne sais plus s'il s'appelait Bubu, mais c'est comme ça que je finissais toujours par l'appeler en recommençant inlassablement le jeu (et aussi parce que les prénoms des personnages étaient limités à 4 caractères). Bubu est un chic type, il monte dans les arbres pour aller vous cueillir des baies, laissant place à un mini-jeu qui ne cassait pas des briques mais toujours plaisant à l'occasion. Ok, je mens, à vrai dire je le recommençais encore et encore : il était tellement fun.

Pour la petite histoire, sachez que je n'ai jamais réussi à obtenir la meilleure fin du jeu : c'est à dire s'enfuir avec un autre humain rencontré sur l'île et Bubu le singe. Oui, je suis au courant de la meilleure fin car ma frustration fût telle que même des années après, j'ai ressenti le besoin d'aller YouTuber tout ça.

Les meilleures fin que je sois parvenu à obtenir sont, dans l'ordre du meilleur au pire :

1) Désespéré de quitter l'île un jour, du coup on se fait à l'idée de devoir y vivre pour toujours et le jeu s'arrête (ça arrive tout seul si on laisse trop de jours s'écouler)
2) Disparu en mer sur un radeau construit par mes soins
3) Tué par cette saloperie de panthère.


MMMMHPFF :(

WIKI-PÉDANT: Sarah Connor.

Sarah Connor est une chanteuse pop allemande qui aura bâtie la moitié de sa carrière sur des samples de tubes hip-hop. 2Pac, Mary J. Blige, BlackStreet, Marvin Gaye, Annie Cordy[réf. nécessaire]...rien ni personne ne lui échappe. Également à son palmarès, un duo avec Wyclef Jean, rappeur ayant perdu toute pertinence depuis des années déjà et qui refuse obstinément de mourir médiatiquement parlant. L'on peut aussi évoquer chez Sarah Connor sa volonté indécrottable de toujours vouloir adopter des poses et attitudes sexy, et ce dans chacun de ses clips, même lorsqu'il s'agit d'une ballade niaise ou d'une reprise totalement inappropriée. Aussi, Sarah Connor, qui n'est en fait que Sarah Lewé[1] au quotidien, a fait le choix peu judicieux de choisir un nom de scène similaire à celle d'un personnage fictif tiré d'un blockbuster américain des années 80. Tout ceci prête ainsi à diverses parodies telles que celle-ci :

scfin


Trois morceaux, si vous avez VRAIMENT envie de vous pencher sur son cas :

Bounce

He's Unbelievable

Under My Skin, absolument putassier et donc forcément génial :

Ca n’est pas tous les jours facile de s’appeler Avril Lavigne.